Par souci d’économie d’énergie, nous isolons mieux que jamais nos résidences et bâtiments. Il devient ainsi presque impossible d’apporter assez d’air frais de l’extérieur vers l’intérieur, afin de réduire la concentration de contaminants biologiques et chimiques dans nos maisons.
L’implantation de ces importantes mesures d’économie d’énergie résulte en une augmentation constante des particules circulant dans l’air (allergènes, virus, bactéries, moisissures, produits chimiques, composés volatils organiques, fumées et odeurs).
Selon l’EPA (l’Agence de Protection Environnementale Américaine), « les niveaux de polluants à l’intérieur de nos maisons peuvent être jusqu’à 100 fois plus élevés que ceux à l’extérieur » ; et ces mêmes contaminants circulent constamment par le système de ventilation de nos maisons.